Un article un peu différent aujourd’hui, je vous fait part de ma réflexion personnelle sur la publicité en tant que blogueuse. Ouais, t’as vu, vaste programme !
Si vous me suivez depuis quelques temps, vous savez que je ne tire pas de revenus de mon blog, ce n’est pas mon job à proprement parlé. Je n’ai donc jamais fait de partenariat rémunéré directement par une marque. J’ai par contre accepté de recevoir des produits, parfois pour moi, parfois pour faire des concours pour vous. Toujours choisi soigneusement, ils ont été très rares et m’ont toujours été proposé sans contrepartie. Je pouvais donc en parler (ou pas), quand et comme je voulais.
Pourquoi mener une réflexion alors ? Parce que d’une part, ma « communauté » grandit, notamment sur Instagram, et je deviens donc davantage visible pour les marques. Les sollicitations sont plus nombreuses et ma boîte mail devient compliqué à gérer (déjà que j’étais pas hyper bonne en gestion des mails…). Et en 10 ans de blog (#mamieduweb), mes rapports avec les marques ont été très rares, je n’ai donc pas construit ma présence ici ou sur les réseaux autour de ce principe de collaboration. Mais aussi parce que la situation a changé depuis 10 ans, les marques ont désormais bien conscience de l’impact des blogs et réseaux sur leur stratégie publicitaire et les sollicitations deviennent plus nombreuses et plus complexes.
Et surtout, parce que je suis en pleine reconversion professionnelle et si je ne veux toujours « professionnaliser » mon blog au sens propre du terme, mes opportunités actuelles se construisent quand même autour. J’avais envie de me poser un peu, réfléchir à mon rapport avec les marques, ce que je voulais faire, ce qui me dérangeait… Peut-être que toute ma réflexion sera différente dans quelques mois mais pour l’instant, j’ai mis tellement de temps à écrire cet article qu’il reflète assez bien ce que je pense à ce instant T.
J’ai toujours fait une distinction simple :
– un envoi de produit sans exigence particulière est un envoi presse, exactement comme dans une rédaction presse (magazine ou journal). Il ne nécessite pas de rémunération particulière puisque je suis libre d’en parler ou non.
– un envoi de produit (ou autre) avec des exigences particulières est une demande de partenariat qui nécessite une rémunération : écrire un article, faire telle ou telle photo, participer à une opération de communication de la marque, etc.
Sauf qu’aujourd’hui les pistes se brouillent, les marques sont bien plus conscientes de l’impact des « influenceurs » et les mauvaises pratiques (des deux côtés) sont encore trop courantes. J’espère avoir réussi à résumer ma pensée de façon assez fluide, clairement c’est un sujet complexe qui nécessiterait encore deux ou trois épisodes ! Et je précise évidemment que je parle surtout de mon cas personnel et que j’utilise le biais de la « généralité », je sais bien qu’il y a autant de modèles différents que de blogs, c’est pour ça qu’il faut mener sa propre réflexion.
Ah et oui, si tu t’en fous, tu peux aussi zapper l’article, je conçois que le sujet reste assez personnel et propre au microcosme des gens qui parlent à leurs téléphones 😉
Pourquoi les marques me contactent ?
Cette question a été le point de départ de ma réflexion et elle m’a beaucoup aidé.
La majorité des marques contactent des « influenceurs » (que ce mot est moche…) justement pour leur « influence » et donc pour toucher leur « communauté ». Il y a aussi des marques, notamment les plus petites et les plus jeunes, qui veulent avoir un retour sur leurs produits, par des « experts » dans un domaine. Il n’empêche que dans la majeure partie des cas, il s’agit surtout de toucher des potentiels « clients » dans une communauté déjà bien ciblée et assurer leur présence sur les réseaux sociaux.
Il est donc important de garder en tête que les marques, même les plus vertueuses, savent très bien pourquoi elles vous proposent un produit ou une collaboration : pour bénéficier de votre influence et toucher une future clientèle souvent parfaitement adaptée à leurs produits.
C’est donc un biais publicitaire pour les marques. Une marque « green » aura bien plus d’intérêt à se faire connaître des blogueuses green que de payer (beaucoup plus cher!) un encart publicitaire dans un magazine. Ainsi, il y a un intérêt de « ciblage » évident mais aussi….un aspect budgétaire ! Envoyer un produit coûte bien moins cher que les canaux classiques de la publicité.
Je ne critique pas en soi cette stratégie, la nécessité de publicité pour une marque est évidente, ce n’est ni bien, ni mal. Mais il faut être conscient que l’on agit dans ce cadre de « vecteur publicitaire » quand on collabore avec une marque.
Je suis donc un relais publicitaire pour les marques
Je n’avais jamais marqué noir sur blanc cette phrase. Pourtant, le fait de parler d’un produit ou d’une marque est une publicité. Il y a donc une part de l’activité d’un blog qui est d’être un vecteur publicitaire pour les marques. Parce qu’en raison de votre influence, vous favorisez la notoriété, voir la crédibilité d’une marque et déclenchez dans la plupart des cas, des ventes.
Et c’est là que ma réflexion commence à être complexe : à partir du moment où on a une certaine « influence » (toute relative dans mon cas hein!), on est un vecteur publicitaire. Même celle qui refuse tous les contacts avec une marque mais qui sont suivies par des milliers de personnes entrent, à mon sens, dans ce cercle de vecteur publicitaire. C’est ce qui impose de choisir avec soin ce dont on parle, c’est une responsabilité.
Pour ma part, réfléchir à cette question m’a fait comprendre que je ne voulais pas que mon blog ou mes réseaux sociaux soient un vecteur publicitaire. Ou plus justement, je ne veux pas entrer dans la stratégie publicitaire des marques…mais c’est assez compliqué d’y échapper !
Pourquoi est-ce qu’on accepte de collaborer avec les marques ?
Une question que l’on se pose rarement. Evidemment je mets de côté ceux qui collaborent pour remplir leurs placards (et d’une manière générale, j’aborde ici le sujet par le prisme d’influenceurs « éthiques » hein…).
On accepte généralement de collaborer parce que le produit ou la marque nous intéresse et peuvent intéresser notre communauté. On souhaite aussi participer à promouvoir des produits ou des marques qui correspondent à nos valeurs, notamment dans le cadre des blogueurs « green ». Collaborer avec une marque éthique, c’est aussi participer à augmenter sa visibilité dans un monde saturé de publicité pour des marques conventionnelles. Ensuite, cela peut avoir un aspect créatif puisque de nombreux partenariats permettent justement de créer du contenu adapté et donc de s’exercer, gagner en compétence, etc. Cela rejoint l’aspect « créateur de contenu » : si c’est notre métier, on est évidemment intéressé par les projets que peuvent apporter certaines marques.
Et est-ce qu’on collabore pour gagner en visibilité ? C’est clairement l’argument le plus courant dans les mails de marques. Sauf que si on vous contacte, c’est que vous avez déjà de la visibilité ! Je ne compte plus le nombre de mails qui mentionnent « on a pas de budget mais vous gagnerez en visibilité », tout en ayant beaucoup moins d’abonnés que moi ^^ Donc non, l’immense majorité des marques veulent gagner en visibilité en utilisant votre influence et non l’inverse !
Enfin, il y a aussi une part « contenu supplémentaire », qui était un peu à l’origine des partenariats pour les blogs. Dans un format « classique » de blog, recevoir des produits permet aussi de pouvoir tester plus de choses qu’avec nos propres moyens et de renouveler les publications. Je suis moins concernée par ce critère, vu que je parle déjà peu de « produits » en soi mais, évidemment, j’ai le problème classique de la blogueuse minimaliste qui utilise toujours le même shampoing et je ne compte plus les demandes de « est-ce que tu as testé tel produit »? Je n’estime pas être redevable de tester tous les produits sur le marché bien sûr, mais j’avoue que, parfois, je regrette de ne pas pouvoir vous donner mon avis sur plus de choses !
Pour préciser un peu ma « relation » avec les marques, j’ai réalisé ce petit exercice : lister mes différents partenariats et produits reçus. J’ai ensuite souligné leurs points communs, mis de côté ceux que j’avais préféré, ceux qui m’avaient dérangé, ceux que je referais sans problème, etc.
En rapide et non exhaustive, j’ai « collaboré » (dans le désordre) avec Le Moly, Greenma, Landmade, Ludilabel, Marius Fabre, Pousse Pousse, l’Echoppe végétale, Le Fer à cheval, Natifs, Sabe Masson, Balzac Paris, Egotopie, Nuoo Box, Ballot Flurin…et j’ai reçu quelques livres ou magazines aussi.
Le point commun est évidemment la démarche de ces marques ou produits que je souhaitais mettre en avant. Il y a une grande différence par contre entre des petites marques qui souhaitent obtenir plus de visibilité et de plus grandes marques qui ont déjà une stratégie publicitaire bien établie. Je n’ai jamais eu de regrets, notamment parce que j’ai toujours gardé la liberté de pouvoir en parler ou non (ce qui est aussi le cas parfois). Est-ce que je suis contente d’avoir eu des contacts avec ces marques ? Pour la plupart oui, ce fus de belles découvertes et je reste en contact avec la plupart. Est-ce que j’aurais eu connaissance de ces produits/initiatives autrement ? Pour certaines oui, pour d’autres non clairement, soit parce qu’elles étaient encore assez confidentielles, soit parce que je n’aurais pas de moi-même acheté les produits par manque de moyens, soit parce qu’ils vous étaient destinés (concours ou produit que je connais déjà bien comme les box jardinage).
Je pourrais encore dérouler ma réflexion sur mes anciens « partenariats » (des envois-presse en majorité) mais je préfère vous partager ma conclusion : la publicité que j’ai pu faire ici ou plus souvent sur Instagram ne me pose pas de problème en soi. Ce sont des produits auxquels je crois et pour beaucoup des marques que j’utilise toujours à titre perso. Je ne pense pas non plus que vous avez ressenti un « trop » de publicité ni une publicité hors sujet. Ce n’est donc pas le contenu qui me « dérange » mais bien davantage le fait d’être aujourd’hui confronté à un choix plus large et de devoir donc entrer pleinement dans la stratégie publicitaire de ces marques.
Les mentions obligatoires pour les publicités
Un petit point juridique (malgré ma reconversion, j’y reviens sans cesse!). Collaborer avec des marques impose plusieurs « contraintes » juridiques qui sont encore trop souvent oubliées.
Quand on fait des partenariats rémunérées, vous devez évidemment le mentionner expressément : outil publication sponsorisé, les #ad #sponsorisé…tout ce qui vous semble pertinent et visible directement pour le lecteur. Sans cette mention, il s’agit d’une pratique commerciale trompeuse, susceptible d’être sanctionnée. Ensuite, un partenariat rémunéré nécessite, la plupart du temps, un contrat avec la marque afin de préciser les obligations de chacune des parties et les modalités de paiements. Enfin, la rémunération obtenue doit être déclarée dans vos revenus et nécessite souvent la création d’un statut juridique qui peut être incompatible avec certaines professions (coucou la fonction publique). Si jamais ça vous intéresse, je peux remettre ma casquette juriste le temps d’un article sur ces contraintes 🙂
Mais ce qui m’intéresse particulièrement, c’est le cas des simples envoie presse. Là, les obligations juridiques sont plus floues, mais non moins existantes (et déjà bien présentes à l’étranger) : communiquer sur un produit reçu gratuitement doit être mentionné expressément. En toute logique, il n’y a pas de forme particulière et vous pouvez déjà vous contenter de « produit offert par… » mais sachez qu’à l’étranger, de nombreuses législations imposent les mêmes contraintes de mentions que pour les partenariats rémunérés.
Pourquoi ces obligations ? Justement parce que vous êtes un vecteur publicitaire ! Une marque ne peut pas envoyer des dizaines de produits gratuitement sans que cela soit ensuite mentionné dans les publications. Ce ne sont pas des avis clients et il faut arrêter de penser qu’une marque envoie gratuitement un produit sans chercher à obtenir votre avis public…et donc votre influence !
J’ajouterais que certains pays obligent aussi les « influenceurs » a inscrire le fameux #ad dès lors qu’ils parlent d’une marque en la mentionnant, sans avoir reçu le produit gratuitement. Oui, si vous partagez votre marque de shampoing préféré, acheté avec votre argent, mais que vous êtes suivi par des milliers (ou plutôt millions) de personnes, cela revient à en faire de la publicité. Cette pratique peut surprendre mais c’est le revers de « l’influence » : l’impossibilité de déconnecter le fait de parler d’un produit avec les conséquences financières pour une marque.
Première conclusion : je ne souhaite pas être un vecteur publicitaire. Mais comment faire concrètement ?
Refuser les demandes de partenariats sans rémunération
C’est le seul point facile à résoudre pour moi mais c’est très personnel. Je ne souhaite pas faire de la véritable « création de contenu » et donc tirer une rémunération via mon blog et surtout via les marques*.
En pratique, cela signifie que je refuse les partenariats rémunérés mais surtout, je refuse – et explique ce refus – les partenariats non rémunérés qui nécessitent une rémunération !
A partir du moment où une marque me sollicite pour « créer » du contenu et impose des exigences, ce n’est plus un simple envoi presse, c’est un travail ! Cela demande donc un statut, un contrat et une rémunération. Je ne peux pas accepter gratuitement ce que certaines font pour gagner leur vie. Je ferais donc un mail type pour expliquer que la demande nécessite d’être réorientée vers des « créateurs de contenu » avec tout ce que cela implique…
Beaucoup de blogueuses (ou plus souvent sur Instagram) estime qu’à partir du moment où ce n’est pas leur job, elles peuvent choisir de collaborer gratuitement. Si je comprends la logique, cela concurrence directement celles qui demanderont une rémunération et permet aux marques de continuer à faire de la publicité gratuitement. Soit on accepte uniquement les envois-presse (voir le paragraphe suivant) et on peut le faire sans rémunération, soit on accepte des contraintes de la marque et il s’agit d’un travail.
Pour ma part, les seuls partenariats que je pourrais accepter en tant que « travail » seraient justement ceux pour lesquels j’aurais envie d’effectuer ce travail : ce que j’appelle les « vraies » collaborations, qui proposent de travailler ensemble et non pas « pour une marque ».
*les raisons qui font que je ne veux pas en tirer de rémunération seraient trop longues à expliquer dans cet article, je vous en parlerais à propos de ma reconversion pro.
Refuser les simples « envois-presse »
Un simple « envoi-presse » doit déjà l’être : comme dans les rédactions presse, les envois n’ont aucune contrainte de publication. Si vous décidez d’en parler, il faudra seulement mentionner que le produit vous a été offert mais cela ne justifie pas (forcément) de rémunération.
Pourtant, ça me pose aujourd’hui un cas de conscience puisqu’il s’agit quand même d’en faire la publicité gratuitement. Et que contrairement aux rédactions presse, je ne tire pas de salaire de mon « média » (blog et réseaux sociaux).Surtout, ça ne simplifie pas ma gestion quotidienne. Si je pouvais gérer les quelques demandes auparavant, c’est aujourd’hui plus complexe : comment choisir, qui privilégier, quels critères posés ? C’est long, très long, de gérer les mails que l’on reçoit et je préfère utiliser mon temps à vous répondre à vous, qui me lisez !
Mais la solution « je ferme les portes à tous les envois presse » n’est pas forcément plus simple ! A partir du moment où je partage quelque chose de « marchand » – qui peut donc s’acheter – j’utilise mon « influence » et je créé une opportunité publicitaire pour la marque. La seule solution complètement cohérente serait d’arrêter complètement de vous partager des choses que vous pouvez acheter…ça me semble un poil radical 🙂
Et surtout, on pense rarement au fait que cela créé aussi une inégalité entre les « influenceurs » : il y a ceux qui pourront se passer de rémunération directe et de relations avec les marques parce qu’ils ont le temps et l’argent de le faire. Clairement, Instagram n’a pas amélioré la situation, les « influenceurs » qui n’ont pas de blog à tenir sont évidemment favorisés puisqu’ils ont bien moins d’investissement en temps et en argent à fournir. Mais plus largement, c’est aussi pour cela que l’on trouve beaucoup d’étudiants, de freelance ou de personnes travaillant à domicile, puisque le rapport au temps n’est pas le même. Faire avec ses finances et son temps quand on est célibataire et salarié (dans le meilleur des cas), c’est bien plus complexe que si on travaille à domicile, si on fait des études ou si on a un conjoint qui nous épaule financièrement. Bref, je m’égare, mais je voulais juste signaler que l’option « on arrête toutes les relations avec les marques » n’est pas forcément une option très « égalitaire » sur le long terme.
Réfléchir à un autre rapport avec les marques
J’en reviens à la question « pourquoi j’accepte de collaborer avec certaines marques« . La seule réponse qui compte pour moi est de vous partager des marques, produits ou initiatives, qui font sens pour moi. Et je n’ai pas envie d’arrêter ce côte « relais » et je n’ai pas de solution miracle malheureusement. Tout ce que je peux faire est de continuer à privilégier le relais personnel – sans rapport avec les marques – et être encore plus sélective dans ce que je peux accepter des marques. A titre personnel, le tri se fera essentiellement sur la « notoriété » de la marque : la grande majorité des mails que je reçois provient de marques qui ont (ou devraient avoir) un budget publicité, je n’ai donc pas besoin de mettre « mon influence » à leurs services.
Mais j’ai aussi envie de réfléchir plus largement à cette question. Un média qui fonctionne grâce à la publicité, finalement, c’est le modèle le plus courant dans la presse. Et c’est bien cela qui permet à certaines blogueuses d’en vivre : alterner les partenariats rémunérés avec leurs articles (ou autre) propres, comme un journal alterne articles et encart publicitaire.
D’autres questions m’occupent alors : est-ce qu’il est possible de se passer des marques quand on a un blog/des réseaux sur lesquels on parle aussi de produits marchands ? Est-ce qu’il y a d’autres solutions que l’envoi de produits pour faire la publicité d’une marque que l’on veut mettre en avant ?
Réfléchir à un autre modèle économique
Enfin, et ce sera ma conclusion, toutes ces questions m’imposent de réfléchir autrement à mon « modèle économique ». Parce que la question des partenariats provient essentiellement d’un besoin de financement de l’activité (et du temps) que l’on passe. Collaborer avec des marques, c’est aussi et surtout se rémunérer afin de pouvoir proposer d’autres contenus sans rémunération. Ça ne serait pas « plus simple » pour moi de faire des partenariats rémunérés mais ça me permettrait néanmoins de ne pas avoir à réinventer l’eau chaude pour pouvoir partager toujours autant, voir plus, et quand même payer mes factures !!
Je ne peux nier le temps et l’investissement que je mets ici ou sur les réseaux, et aujourd’hui, si ce n’est toujours pas mon job, c’est ce qui me permet de travailler à côté, un peu comme « ma carte de visite ». Je dois donc trouver un modèle qui me permet de dégager à la fois du temps et de l’argent afin de pouvoir continuer à passer des heures à vous parler des plantations de tomates ^^
Mais c’est une autre réflexion, qui nécessite un autre article !
Est-ce que ça vous intéresse ces sujets d’ailleurs ou ça serait mieux que je continue face à moi-même ? 🙂
Ah non, continue car c’est hyper important d’avoir des article comme ça, surtout en ce moment où les choses semblent bouger et qu’on osent de plus en plus en parler !
C’était top de te lire, first time first héhéhé !
J’aime beaucoup ton rapport aux choses et je pourrais carrément le rejoindre.
Je garde tout ça précieusement en tête pour le cas où j’ai des demandes…
Hello. J’avoue que ce sujet ne m’intéresse pas tellement (contrairement aux autres sujets que tu abordes d’habitude). Sur les blogs ou instagram, rares sont les personnes qui expriment un avis négatif sur tel ou tel produit, alors rémunéré ou pas, offert ou pas, si on a que du positif, dans tous les cas il y a un peu de fake là dedans !
Je préfère lire sur des sujets qui m’intéressent vraiment plutôt que de connaitre les question existentielles des blogueuses, ce n’est pas trop mon monde à vrai dire !
Allez, vive les tomates ! 🙂
Merci beaucoup pour cet article! Ça fait du bien de lire des réflexions sur ce sujet qui devient vraiment important. A l’heure où on a l’impression que tout le monde sur Instagram fait des partenariats ou cherche à être connu pour en faire, ça fait du bien. J’aime vraiment beaucoup ta façon de penser et je serais ravie de lire d’autres articles sur le sujet.
Je découvre ton blog et j’aime beaucoup ton contenu 🙂
Merci beaucoup pour cet article! Ça fait du bien de lire des réflexions sur ce sujet qui devient vraiment important. A l’heure où on a l’impression que tout le monde sur Instagram fait des partenariats ou cherche à être connu pour en faire, ça fait du bien. J’aime vraiment beaucoup ta façon de penser et je serais ravie de lire d’autres articles sur le sujet.
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Merci beaucoup pour cet article! Ça fait du bien de lire des réflexions sur ce sujet qui devient vraiment important. A l’heure où on a l’impression que tout le monde sur Instagram fait des partenariats ou cherche à être connu pour en faire, ça fait du bien. J’aime vraiment beaucoup ta façon de penser et je serais ravie de lire d’autres articles sur le sujet.
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Très intéressant, merci pour ces réflexions poussées !